"Les Bizantines", c'est une série de portraits de femmes qui nous entourent et incarnent l'énergie qui nous anime.
Pour cette première, Camille Gorin, notre égérie de la saison, a eu la gentillesse de partager avec nous ses appétences littéraires.
Hello ! Quel est ton métier ?
Je suis mannequin et créative.
As tu un Instagram ?
Un site ?
Photos Chloé Bruha
Des actus dont tu souhaites faire part ?
Cette année je présente une série inédite de photographies durant une exposition collective à Paris, et sort « Incantationem », court-métrage de mon amie Baladine Ardant Conversi sur lequel j’ai été photographe plateau. En raison de la crise que nous vivons, les dates restent à préciser.
Photos Camille Gorin
Quel est ton lien avec Bizance ?
Je suis égérie de la campagne SS20 et connais Bérangère, la directrice du style de la marque !
Quelle est ta pièce préférée de la collection ?
Le sweat-shirt Billie !
Ton idée ou gestes quotidiens pour prendre soin de demain ?
Le minimalisme, éviter autant que possible le plastique, créer, apprendre, s’écouter, se dresser face aux incivilités, rester connectés à ceux que l’on aime et la nature.
Tes occupations en ces temps de confinement ?
Je dessine, lis, écris, photographie, cuisine, reste prostrée dans mon canapé, nettoie, communique avec mes proches, fais du sport, regarde des films et des programmes avec ma moitié…
ITW LITTÉRATURE
Quel est ton roman préféré de tous les temps ?
« Bleu comme l’enfer » de Philippe Djian.
As-tu un/e auteur/e fétiche ?
Philippe Djian !
Un roman que tu as détesté ?
« In the house in the dark of the woods » de Laird Hunt.
Et tu l’as lu jusqu’au bout ?
Oui ! J’étais confuse tout le long, j’avais besoin d’en connaître le dénouement…
Quel est le dernier livre que tu aies lu ?
« These ghosts are family » de Maisy Card.
Le prochain que tu souhaites lire ?
« La porte » de Magda Szabo.
Quel est ton style littéraire favori ?
Non-fiction.
Tu me recommandes de lire quoi ?
« Bleu comme l’enfer » de Philippe Djian, « Goodbyethings : on minimalist living » de Fumio Sasaki, « Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité » d’Aurélien Barrau, « Apocalypse bébé » de Virginie Despentes, « Oscar et la dame rose » d’Eric-Emmanuel Schmitt, « Le bal des folles » de Victoria Mas, « Just kids » de Patti Smith, « Comment tout peut s’effondrer » de Pablo Servigne et Raphaël Stevens, « Zéro Plastique on s’y met ! » de Pauline Imbault, « La dernière photo » de Franck Courtès…
Et une adaptation ciné particulièrement réussie ?
« Elle » de Paul Verhoeven, d’après « Oh… » de Philippe Djian.